La lecture entre l’identification de l’écrit et la compréhension!
Hosnia Choukri
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Dans un état normal où les apprenants ne «souffrent » pas de vraies difficultés au niveau de l’identification de l’écrit, l’étude d’un texte de lecture devrait viser, d’une façon parallèle, aussi bien la lecture que le traitement du sens. Cependant, quand on se trouve devant un public cible dont la majorité a des difficultés de lecture, dans ce cas, nous devrions procéder autrement.
Généralement, un élève qui a des difficultés au niveau de l'identification de l'écrit ne prête même pas attention à la compréhension car il se trouve, sans en avoir conscience, occupé et contraint de réussir son déchiffrage et son décodage de l’écrit. Il semble totalement absorbé par son ânonnement. C’est pourquoi, dans ce cas, il serait logique, pour l’enseignant, de donner plus d’importance et plus de temps au développement de la compétence de la lecture proprement dite. En effet, l'étape de la lecture comme technique mécanique (savoir identifier l'écrit) est une étape primordiale par laquelle on devrait passer obligatoirement, et ce pour pouvoir entamer par la suite l'étape de la compréhension sans aucune complication.
En effet, dissiper les difficultés de la lecture libère progressivement le cerveau de l'apprenant de l'obstacle de "déchiffrage" en devenant prêt à traiter et à entamer le sens d'un texte. Cependant, cela n'empêche que pendant l'étape du travail sur la compétence de l'identification de l'écrit de traiter avec les apprenants les idées générales du texte à partir de titre et des illustrations et de recourir à l'enrichissement de leur capital lexical par des mots nouveaux et des mots usuels et quelques explications orales sans pour autant stresser beaucoup l'apprenant par des questions de compréhension auxquelles il ne peut pas répondre.
Avec le temps, on égalisera les doses, progressivement, en focalisant aussi bien la compréhension que la lecture.
Dans un état normal où les apprenants ne «souffrent » pas de vraies difficultés au niveau de l’identification de l’écrit, l’étude d’un texte de lecture devrait viser, d’une façon parallèle, aussi bien la lecture que le traitement du sens. Cependant, quand on se trouve devant un public cible dont la majorité a des difficultés de lecture, dans ce cas, nous devrions procéder autrement.
Généralement, un élève qui a des difficultés au niveau de l'identification de l'écrit ne prête même pas attention à la compréhension car il se trouve, sans en avoir conscience, occupé et contraint de réussir son déchiffrage et son décodage de l’écrit. Il semble totalement absorbé par son ânonnement. C’est pourquoi, dans ce cas, il serait logique, pour l’enseignant, de donner plus d’importance et plus de temps au développement de la compétence de la lecture proprement dite. En effet, l'étape de la lecture comme technique mécanique (savoir identifier l'écrit) est une étape primordiale par laquelle on devrait passer obligatoirement, et ce pour pouvoir entamer par la suite l'étape de la compréhension sans aucune complication.
En effet, dissiper les difficultés de la lecture libère progressivement le cerveau de l'apprenant de l'obstacle de "déchiffrage" en devenant prêt à traiter et à entamer le sens d'un texte. Cependant, cela n'empêche que pendant l'étape du travail sur la compétence de l'identification de l'écrit de traiter avec les apprenants les idées générales du texte à partir de titre et des illustrations et de recourir à l'enrichissement de leur capital lexical par des mots nouveaux et des mots usuels et quelques explications orales sans pour autant stresser beaucoup l'apprenant par des questions de compréhension auxquelles il ne peut pas répondre.
Avec le temps, on égalisera les doses, progressivement, en focalisant aussi bien la compréhension que la lecture.
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